La Magie d'amour avec le plus grand marabout daagbo vaudou
L'influence amoureuse est une technique de magie, sans doute la plus célèbre.
On l'utilise à l'insu de la personne aimée. Elle est puissante et permet d'avoir des effets très positifs.
Comprendre le mécanisme de ce travail est primordial avant de prendre connaissance de son champ d'application. Ils existent deux modes d'action pour se faire aimer :
1. une en agissant sur le physique et le psychisme,
2. une autre agissant sur les évènements secondaires.
A) le travail du premier type :
C'est l'inconscient de la personne dont on recherche l'amour qui est la cible. Le lien entre le conscient et l'inconscient est plus ou moins fermé, c'est le jeu des interdits, du refoulement qui contrôle ce passage. L'inconscient représente 90% du psychisme. C'est lui qui permet aux poumons de respirer, au cœur de battre et d'avoir du désir envers quelqu'un. L'inconscient est en quelque sorte le ROI de notre être. Ce ROI décide qui nous aimons, qui nous détestons. Nos pensées conscientes ne représente que 10% de notre personnalité. Si nous voulons nous faire aimer, les beaux discours, les bonnes raisons sont inutiles… Car c'est l'inconscient qui décide.
Le moi est le conscient, c'est ce que l'on peut maîtriser. Il est rempli de nos connaissances, de notre apprentissage.
Le surmoi est l'outil de notre frustration, c'est l'image du policier. Les codes moraux y sont inscrits. C'est avec lui que nous puisons toutes nos névroses. Il agit sur le conscient pour nous dicter des actes allant « dans le moule » de notre société, de notre éducation.
L'inconscient est libre de ce surmoi, c'est là où se trouve nos désirs inavoués, nos pulsions sexuelles sur lesquelles doit agir la magie amoureuse. Il s'agit de notre instinct grégaire, là où résident nos habitudes d'«homme (de femme) des cavernes». Y sont exposés nos vices, nos perversions, nos refoulements…
C'est donc par lui que la magie opère. L'inconscient puise les données du présent, preuve en est les phénomènes de mode, le phénomène de foule qui relève de l'inconscient collectif.
C'est sur l'inconscient qu'agit le travail magique, par doses homéopathiques. Son action est subtile.
Le travail d'Affection retrouvée
Dans un premier temps, il s'agit d'implanter les bases du travail dans l'inconscient, en douceur. Progressivement, le programme va s'entremêler avec les données de l'inconscient qui va ensuite le transmettre au conscient.
Dans certains cas, le conscient veut contrecarrer les données de l'inconscient. Un processus de blocage se met alors en route, c'est ce qu'on appelle le refoulement. Progressivement et avec le travail, l'inconscient subit une pression de plus en plus forte. Se met en place le processus d'angoisse.
Chaque fois que le comportement de la personne que l'on cherche à influencer va à l'encontre du travail, elle subit un état d'angoisse ou encore de culpabilisation.
Par contre lorsqu'elle va dans son sens, elle se sent détendue.
Tout ceci se fait subtilement. La personne aimée (homme ou femme) ne peut soupçonner en aucun cas qu'elle est sous influence.
Le passage à l'acte
En ce qui concerne la personne cible, elle va finalement céder à cette tension entre le conscient et l'inconscient, et le rituel de travail arrive à ses fins par sursaturation de l'inconscient.
Les techniques du travail affectif sont subtiles. Elles font croire à la personne cible qu'elle agit selon sa demande interne. Il y a communication de l'inconscient vers le conscient, et la cible croit qu'elle est maîtresse de son action. Elle ne peut lutter contre le travail, ce serait lutter contre elle-même.
Peut-on résister par la volonté à un travail amoureux ?
La volonté ne sert que lorsqu'il s'agit de pression extérieure et ou la raison s'active.
La pression est ici interne, et quoi qu'il arrive l'inconscient utilisera tous les mécanismes possibles pour faire passer le message.
C'est l'inconscient qui tient les manettes pour faire plier le conscient. Contrairement à ce dernier, l'inconscient connaît bien son voisin et utilise toutes ses failles.
Les échecs du travail.
Lorsqu'il n'y a pas de réaction suite au travail, ce n'est pas qu'il ne marche pas mais plutôt qu'il n'est pas adapté. Le message est bien enregistré mais il n'est pas compatible avec la cible, il n'a donc pas les effets attendus. Son comportement est modifié mais pas dans le sens recherché. Ce manque de résultat est dû à des informations fausses. Ou bien lorsque le (la) demandeur ne suit pas scrupuleusement les instructions qui lui sont données.
C'est alors qu'un second travail peut être mis en place avec une action par « la bande ».
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